Michèle Pedinielli

Première manif à un mois, premier livre à 48 ans. Entre temps : journalisme, web, coopérative, Nice, plus de patron, écrire, nouvelle primée, roman qui se lance.

 

 

 

Née en avril 1968, Michèle Pedinielli fait sa première manif à un mois et termine son premier roman 48 ans plus tard. Entre-temps, la routine : fuir Nice à 18 ans, devenir journaliste à Paris, revenir 22 ans plus tard au bercail, choisir de ne plus avoir de patron, pointer au chômage, voir sa nouvelle récompensée au Festival Polars du Sud de Toulouse en 2015. Et décider d’écrire pour ne pas mourir sans avoir essayé.

 

 

 

Jeune arrivée dans la littérature noire et sociale, ses deux premiers titres sont des coups de pied aux culs de la bienpensance, une ode à la solidarité, à la lutte et la résistance.

 

 

 

Une nouvelle 

 

·         Celle que l’on ne voit pas (TPS 2015)

 

Deux romans

 

·         Boccanera, éditions de l’aube, février 2018 (Prix Lion Noir 2019)

 

·         Après les chiens, éditions de l’aube, mai 2019